64 - Pyrénées-Atlantiques

Le monument aux morts de Coarraze, suit la typologie habituelle pour ce genre d’édifice. Il est élevé sur la place de l’église, de manière à être visible du plus grand nombre, et prend la forme traditionnelle d’un piédestal massif supportant un obélisque.
Le traitement décoratif des différentes parties de l’édifice suit aussi une composition traditionnelle. Ainsi, sur les quatre côtés du piédestal sont gravés les noms des enfants de Coarraze morts pour la patrie. Enfin, chacune des faces de l’obélisque est ornée de la palme du martyre. Sculptées en bas-relief, celle-ci renvoient à l’idée de courage et de sacrifice.
Cinquante-six Coarraziens ne rentrent pas de la Grande Guerre, auxquels s’ajoutent les victimes de la Seconde Guerre mondiale.

Le monument aux morts de la commune d’Espoey se compose d’une base à degrés, d’un socle, qui porte la liste des victimes du conflit militaire, et d’un obélisque terminé par un pyramidion. Ce monument civique reprend la forme la plus fréquemment utilisée pour ce type d’édifice.
Le socle du monument est sculpté de bas-reliefs représentant des feuilles de laurier et de chêne, respectivement symboles de gloire et de force. Sur l’obélisque, on peut voir une palme, évoquant la victoire ou le martyre, et une Croix de guerre, décoration militaire due aux soldats tombés au champ d’honneur.
La commune d’Espoey perd vingt-quatre de ses enfants pendant les deux guerres mondiales.

À Fichous-Riumayou une plaque commémorative est fixée sur l’un des murs de l’église du village.
Il s’agit d’une plaque rectangulaire en marbre noir qui comporte plusieurs symboles patriotiques : la Croix de guerre, symbole du martyre, les branches de laurier, symboles de gloire, et les drapeaux français, emblèmes nationaux. Le nom des 12 soldats morts au combat a été gravé sur cette plaque. Plus tard, une autre plaque a été ajoutée sous la première, honorant la mémoire du soldat ayant perdu la vie lors de la Seconde Guerre mondiale.

Le monument aux morts de Gère-Bélesten se situe à proximité de l’église. Il se présente sous la forme d’une plaque en marbre fixée à un gros bloc rocheux laissé brut.
Sur la plaque, on peut lire la liste des victimes du conflit militaire, sous la représentation d’une palme symbole de martyre, et de décorations militaires, notamment la Croix de guerre.
La croix latine qui couronne la stèle et l’emplacement du monument aux morts, à proximité de l’église, soulignent la dimension religieuse de ce monument.
Chaque année, la cérémonie du 11 novembre rend hommage aux douze Gère-Bélestinois qui ne rentrent pas de la Grande Guerre.

À Fichous-Riumayou une plaque commémorative est fixée sur l’un des murs de l’église du village.
Il s’agit d’une plaque rectangulaire en marbre noir qui comporte plusieurs symboles patriotiques : la Croix de guerre, symbole du martyre, les branches de laurier, symboles de gloire, et les drapeaux français, emblèmes nationaux. Le nom des 12 soldats morts au combat a été gravé sur cette plaque. Plus tard, une autre plaque a été ajoutée sous la première, honorant la mémoire du soldat ayant perdu la vie lors de la Seconde Guerre mondiale.

Situé sur le bord de la Bidassoa, cet édifice est particulièrement monumental avec son large mur-mémorial incurvé et gravé aux noms des habitants d’Hendaye tombés au combat durant les deux guerres mondiales, mais aussi durant les guerres d’Indochine et d’Algérie.
Au premier plan, une statue en bronze représente une femme agenouillée tenant dans ses bras le corps d’un poilu mort, reprenant ainsi la figure éplorée de la Pietà pour dire la souffrance et le deuil des civils.
Le mémorial recense à ce jour cent cinquante-neuf enfants d’Hendaye morts pour la Patrie.

Le monument aux morts d’Igon se dresse devant l’église paroissiale. Il comprend un piédestal et un buste de Poilu réalisé par Ernest Gabard. À la base du buste sont sculptées des guirlandes de feuilles de laurier, symbolisant la gloire. Le monument aux morts d’Igon marque le souvenir des vingt-et-un habitants de la commune tués pendant la Grande Guerre.